Je suis partie aujourd’hui
Les soins palliatifs à domicile ou le dernier train avant le bleu du ciel par Franca Maï
Franca Maï : Fleurs vénéneuses extrait Crescendo (vidéo)
Prison. La garde des sceaux doit présenter en novembre une loi pénitentiaire. Le président et sa ministre veulent des conditions de détention dignes pour les détenus et entendent créer un contrôleur général des lieux d’enfermement, conformément aux engagements internationaux pris par la France. Cette ambition se heurte à la réalité de la surpopulation carcérale : il y a 11 500 détenus de plus que de places dans les prisons françaises (sur 60 600). La ministre entend favoriser les aménagements de peine ainsi que la formation et le travail des détenus. La loi du 10 août sur la récidive a rendu plus difficile les aménagements de peine pour les délinquants sexuels, qui doivent attendre un rapport d’expertise et donc un expert disponible. Les aménagements de peine ont progressé grâce au développement des bracelets électroniques. La libération conditionnelle est de moins en moins appliquée.
source : Le Monde
La postérité retiendra que Rachida Dati a été la plus grande erreur de casting pour un poste de garde des sceaux. Quand on accumule des casseroles, comme d’autres collectionnent des perles, il n’y a pas à dire, mademoiselle ULTRA BRITE Dati n’est pas à sa place. Parvenir à faire démissionner 8 proches collaborateurs en quelques semaines est un exploit inégalé , qui ferait rire si la ministre de la justice n’était le bras armé de Nicolas Sarkozy dans sa mise au pas du pouvoir judiciaire.
source : 20 minutes
Rachida Dati annonce qu’elle prépare un livre pour contester les "ragots" qui courent sur son elle. Invitée dimanche 07 octobre de l’émission de France 2 Vivement dimanche animée par Michel Drucker, elle a expliqué que c’était "extrêmement désagréable" pour elle d’entendre dire qu’elle n’avait pas passé réellement les examens de l’École de la magistrature, qu’elle avait acheté ses diplômes et que sa vie était finalement "un mensonge".
source : République des Lettres