Je suis partie aujourd’hui
Les soins palliatifs à domicile ou le dernier train avant le bleu du ciel par Franca Maï
Franca Maï : Fleurs vénéneuses extrait Crescendo (vidéo)
Extraits :
La position de Ségolène Royal sur le mini-traité semble avoir évolué : elle défend une adoption "la plus rapide possible". Comment le PS va-t-il se sortir de l’épineuse question européenne ?
Il ne peut s’en sortir que mal. Ségolène Royal est favorable au mini-traité, et déclare que son mode d’adoption "n’est plus une question de principe". En cela elle a une position originale au sein du PS. L’embarras est perceptible au sein du parti : d’anciens partisans du oui, et d’autres du non
source : Nouvel Observateur
Les Thénardier dehors !
...Il est grand temps que le parti socialiste libère la rose prise en otage par le couple Thénardier -s’il veut retrouver sa crédibilité et son honneur perdus- et entame une introspection profitable.
La virginité de la rose, sans coutures. La Gauche, n’étant ni la Droite, ni le Centre.
Madame Ségolène Royal, deux fois aidée dans les urnes par le vote utile pour le premier tour et le vote par défaut, pour le second tour, vient d’administrer le coup de grâce. Un score au-dessous de nos pires cauchemars. Elle garde néanmoins, précieusement, ce sourire « tant habité » du début de sa campagne. « Tous ensemble...Tous ensemble...Tralalalalère... »
Source : Bellaciao
Les socialistes restent divisés sur le traité simplifié
Les partisans du "oui" sont montés au créneau. Le présidentiable Bertrand Delanoë a ainsi plaidé pour un soutien au traité. "Même s’il constitue un instrument imparfait, le nouveau traité européen a le mérite -essentiel- de sortir d’une situation de blocage institutionnel", estime le maire de Paris dans un communiqué publié mercredi. "Européen convaincu", M. Delanoë appelle le PS a adopter "une position claire : soutenir la ratification de ce texte".
Cette position est peu ou prou partagée par Ségolène Royal, sa rivale pour 2012. Dans un entretien publié lundi dans "Libération", l’ex-candidate estimait nécessaire "d’adopter ce texte le plus vite possible" pour passer ensuite à la préparation du traité social qu’elle appelle de ses voeux.
Les deux chefs de file des questions européennes au PS, Pierre Moscovici et Bernard Poignant, prônent eux aussi "un oui critique" au traité, de même que le chef de file des députés socialistes, Jean-Marc Ayrault.
Les anciens "nonistes" défendent pour leur part l’abstention ou le refus de vote. "Nous n’avons pas à nous substituer au peuple français", a lancé mercredi Henri Emmanuelli sur RTL.
Source : Nouvel Observateur
Ségolène Royal persiste et signe
...Ségolène Royal persiste et signe Parti socialiste . Après des mois de silence, l’ex-candidate tente un retour sur le devant de la scène avec un nouvel appel au centre et une sous-estimation de la grève du 18 octobre.
L’ego de Ségo ? Son drame : sans doute ne pas avoir compris qu’une page politique a été tournée le soir du second tour de la présidentielle. Elle l’avoue dans un entretien qu’elle a elle-même sollicité auprès de Libération, à condition qu’il ne se concrétise pas en France, mais en Italie où elle effectuait un déplacement la semaine dernière. Un déplacement toutes affaires cessantes avec pour ordre du jour « le changement climatique et la préservation des milieux aquatiques », et l’assemblée générale de la Conférence des régions périphériques maritimes. « L’important est que les gens se disent et me disent que je me suis bien battue », ressasse-t-elle. Ajoute que le seul rôle qu’elle s’assigne « est de mettre au service de la gauche et des Français le potentiel de l’élection présidentielle ». Une manière d’avouer qu’elle ne prend pas la mesure de l’ampleur de la révolution conservatrice voulue par le capitalisme financiarisé que pilote Nicolas Sarkozy...
Source : L’Humanité