Je suis partie aujourd’hui
Les soins palliatifs à domicile ou le dernier train avant le bleu du ciel par Franca Maï
Franca Maï : Fleurs vénéneuses extrait Crescendo (vidéo)
...Nicolas Sarkozy aurait-il retrouvé la « baraka » qui lui a tant fait défaut ces derniers mois ? Après avoir laissé passer les trains des révolutions tunisiennes puis égyptiennes, le président français s’est emparé de la crise libyenne pour finalement arracher in extremis au Conseil de sécurité des Nations unies une décision à laquelle personne ne croyait plus : l’autorisation du recours à la force contre Kadhafi pour protéger les insurgés libyens. Un succès diplomatique qui s’est aussitôt traduit par l’annonce d’un « cessez-le-feu » par Tripoli. Pour la première fois depuis des semaines de répression sanglante, la population de Benghazi pourrait donc connaître un répit, même si la communauté internationale restait prudente hier, craignant un nouveau coup de bluff.
source : FRANCE-SOIR
...Des signaux positifs vont vite arriver, à commencer par le soutien de la Ligue arabe, qui donne son feu vert à une zone d’exclusion aérienne. « C’est historique ! La rue arabe est derrière nous », proclame l’Elysée, ravi de voir le drapeau français brandi à Benghazi. A bien y regarder, c’est pourtant Barack Obama qui a tout fait basculer. Quand elle rencontre Sarkozy à l’Elysée lundi soir, Hillary Clinton lui confie que le président américain - surnommé le Colin froid à l’Elysée pour le temps qu’il met parfois à se décider - est réticent à une résolution de l’ONU autorisant le recours à la force. Dans les heures qui suivent, virage à 180 degrés
source : LE PARISIEN